Il existe deux types de sieste : la sieste courte, ou micro-sieste, qui dure de 15 à 30 minutes, et la sieste longue (parfois appelée « sieste royale ») qui dure un cycle de sommeil (donc de 1h15 à 2 heures selon la personne).
Les spécialistes du sommeil sont catégoriques : les siestes longues sont à réserver pour les occasions où l’on a très peu dormi la nuit précédente et où on a besoin de sommeil pour être fonctionnel. Dans les autres cas (y compris après une insomnie occasionnelle de quelques heures), les siestes longues désorganisent notre horloge biologique et peuvent provoquer des insomnies à répétition. Mieux vaut donc les éviter.
Les siestes courtes sont au contraire bénéfiques et peuvent être pratiquées tous les jours (elles sont même prévues par le code du travail dans certains pays !). Concrètement, elles doivent se faire après le déjeuner, entre 13h et 15h (pas plus tard) et durer au plus 30 minutes. Au début, mieux vaut programmer une alarme pour ne pas dépasser cette durée. Ensuite, le cerveau en prend l’habitude et déclenche le réveil spontanément. On peut également prendre un objet dans la main qui réveillera le dormeur en tombant au moment où celui-ci va passer en sommeil profond.
Dans la micro-sieste, le cerveau n’a pas le temps de sombrer dans le sommeil profond. Le réveil est facile et la sieste ne laisse pas une impression de « deuxième matin ».
Sources
« Les micro-siestes, mode d’emploi », Centre du sommeil Cenas, Genève.
http://www.cenas.ch/blog-du-sommeil/micro-siestes/
Les spécialistes du sommeil sont catégoriques : les siestes longues sont à réserver pour les occasions où l’on a très peu dormi la nuit précédente et où on a besoin de sommeil pour être fonctionnel. Dans les autres cas (y compris après une insomnie occasionnelle de quelques heures), les siestes longues désorganisent notre horloge biologique et peuvent provoquer des insomnies à répétition. Mieux vaut donc les éviter.
Les siestes courtes sont au contraire bénéfiques et peuvent être pratiquées tous les jours (elles sont même prévues par le code du travail dans certains pays !). Concrètement, elles doivent se faire après le déjeuner, entre 13h et 15h (pas plus tard) et durer au plus 30 minutes. Au début, mieux vaut programmer une alarme pour ne pas dépasser cette durée. Ensuite, le cerveau en prend l’habitude et déclenche le réveil spontanément. On peut également prendre un objet dans la main qui réveillera le dormeur en tombant au moment où celui-ci va passer en sommeil profond.
Dans la micro-sieste, le cerveau n’a pas le temps de sombrer dans le sommeil profond. Le réveil est facile et la sieste ne laisse pas une impression de « deuxième matin ».
Sources
« Les micro-siestes, mode d’emploi », Centre du sommeil Cenas, Genève.
http://www.cenas.ch/blog-du-sommeil/micro-siestes/
Attention
Cet article d'actualité rédigé par un auteur scientifique reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à la date de sa publication. Il ne s'agit pas d'une page encyclopédique régulièrement remise à jour. L'évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc.