L’idée de pouvoir diagnostiquer une maladie d’Alzheimer, ou mieux encore la dépister précocement, à l’aide d’une prise de sang est l’objectif de nombreux travaux de recherche depuis plusieurs dizaines d’années.
Aujourd’hui, on peut affiner un diagnostic (à partir de symptômes touchant la mémoire) à l’aide d’un prélèvement de liquide cérébrospinal (le liquide dans lequel baignent le cerveau et la moelle épinière), mais ce prélèvement est difficile à faire, parfois douloureux, et il n’est pas imaginable de le pratiquer à grande échelle pour un éventuel dépistage, en l’absence de symptômes évocateurs d’une maladie d’Alzheimer.
Aujourd’hui, on peut affiner un diagnostic (à partir de symptômes touchant la mémoire) à l’aide d’un prélèvement de liquide cérébrospinal (le liquide dans lequel baignent le cerveau et la moelle épinière), mais ce prélèvement est difficile à faire, parfois douloureux, et il n’est pas imaginable de le pratiquer à grande échelle pour un éventuel dépistage, en l’absence de symptômes évocateurs d’une maladie d’Alzheimer.
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