Par précaution, même s’il n’existe pas de consensus international sur le sujet.

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Dans un tweet, le Ministre des affaires sociales et de la santé a récemment mis en garde contre l’usage des anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, kétoprofène, etc.) pour soulager les symptômes de la COVID-19 (infection par le coronavirus SARS-CoV-2), sous peine d’augmenter le risque de forme sévère.
Une mise en garde similaire avait été publiée en 2014 et 2019 (donc avant l’épidémie de COVID-19) concernant, respectivement, la varicelle et divers types d’infections bactériennes chez les enfants. Une évaluation européenne est en cours pour confirmer, ou non, cette suspicion. Les personnes qui prennent ces médicaments dans le cadre d’une maladie chronique ne doivent pas cesser leur traitement en l’absence de symptômes d’infection (fièvre, courbatures, toux, par exemple).
 
Attention Cet article d'actualité rédigé par un auteur scientifique reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à la date de sa publication. Il ne s'agit pas d'une page encyclopédique régulièrement remise à jour. L'évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc.

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