L’idée selon laquelle le dîner est le repas qui fait grossir est à la fois fausse et vraie.
D’un point de vue nutritionnel, aucun des repas de la journée ne fait davantage grossir qu’un autre. D’ailleurs, les nutritionnistes et les diététiciens ne mesurent pas les effets d’un repas, ou même d’une journée alimentaire, mais ceux d’une semaine complète. Équilibrer son alimentation est plus facile à faire sur la semaine que sur la journée ou le repas, surtout quand on a une vie active avec une partie d’imprévus alimentaires.
Donc, du point de vue nutritionnel, le dîner ne fait pas davantage grossir que le déjeuner ou le petit déjeuner.
Mais il y a un autre aspect du dîner : dans nos modes de vie agités, le petit déjeuner et le déjeuner sont souvent pris sur le pouce, avec un équilibre alimentaire… discutable ! Du coup, le dîner est souvent le seul repas structuré que nous prenons. Il est une opportunité de rééquilibrer l’alimentation sur la journée (plus de légumes, plus de fruits). Mais si l’alimentation au cours de la journée a été insuffisante ou déséquilibrée, le dîner devient le moment où l’on a le plus faim, où on a davantage le temps de manger en excès, d’autant plus qu’il est souvent précédé d’un grignotage en le préparant (parce que « la faim n’attend pas »). Donc, dans ces conditions, le dîner peut devenir un repas excessif, trop riche, au lieu d’être l’opportunité de rééquilibrer l’alimentation de la journée.
La lutte contre le surpoids passe par l’équilibre alimentaire, mais aussi par une bonne répartition des apports tout au long de la journée : petit déjeuner complet, déjeuner équilibré, goûter allégé et dîner équilibré (et adapté à ce qui a été consommé dans la journée).
Sources
« Une journée rythmée par les repas », Programme national nutrition santé.
« Se réunir autour de repas réguliers », Programme national nutrition santé.
D’un point de vue nutritionnel, aucun des repas de la journée ne fait davantage grossir qu’un autre. D’ailleurs, les nutritionnistes et les diététiciens ne mesurent pas les effets d’un repas, ou même d’une journée alimentaire, mais ceux d’une semaine complète. Équilibrer son alimentation est plus facile à faire sur la semaine que sur la journée ou le repas, surtout quand on a une vie active avec une partie d’imprévus alimentaires.
Donc, du point de vue nutritionnel, le dîner ne fait pas davantage grossir que le déjeuner ou le petit déjeuner.
Mais il y a un autre aspect du dîner : dans nos modes de vie agités, le petit déjeuner et le déjeuner sont souvent pris sur le pouce, avec un équilibre alimentaire… discutable ! Du coup, le dîner est souvent le seul repas structuré que nous prenons. Il est une opportunité de rééquilibrer l’alimentation sur la journée (plus de légumes, plus de fruits). Mais si l’alimentation au cours de la journée a été insuffisante ou déséquilibrée, le dîner devient le moment où l’on a le plus faim, où on a davantage le temps de manger en excès, d’autant plus qu’il est souvent précédé d’un grignotage en le préparant (parce que « la faim n’attend pas »). Donc, dans ces conditions, le dîner peut devenir un repas excessif, trop riche, au lieu d’être l’opportunité de rééquilibrer l’alimentation de la journée.
La lutte contre le surpoids passe par l’équilibre alimentaire, mais aussi par une bonne répartition des apports tout au long de la journée : petit déjeuner complet, déjeuner équilibré, goûter allégé et dîner équilibré (et adapté à ce qui a été consommé dans la journée).
Sources
« Une journée rythmée par les repas », Programme national nutrition santé.
« Se réunir autour de repas réguliers », Programme national nutrition santé.
Attention
Cet article d'actualité rédigé par un auteur scientifique reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à la date de sa publication. Il ne s'agit pas d'une page encyclopédique régulièrement remise à jour. L'évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc.